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pour une fois, aucune C4 n'est en cause ici.
Une photo qui vient de paraître dans LVA est tout de même extraordinaire. Une Peugeot 402 s'est fait greffer pendant la guerre un système gazogène des plus ahurissant. Mad Max n'a finalement rien inventé :shock: :
C est une idée qui m interesse depuis longtemps...mais le rendement du moteur baisse de 30 % en principe et il faut ajouter les 200 kgs de l équipement, il vaut mieux équiper une C6!
pourquoi sa detruit les cylindres? gerald m'avait expliquer le fonctionnement quand ont avaitent eté chercher ma c4. je trouve se systeme interressant. comment sa ce fait que le moteur perd 30%?
En effet les GAZ dits " GAZ PAUVRES " avaient un pouvoir de combustion faibles et c'estla raison pour laquelle les gazogènes à bois ou à charbon, étaient montés ,outre sur les camions ,autobus et cars ,sur des voitures de grosses cylindrées telles que :
-CITROEN C6
-RENAULT VIVA GRAND SPORT
- etc
Pour les plus petits véhicules ,ils étaient équipés de générateurs à acétylène montés parfois sur une remorque tractée et fixée à demeure .
Toutes ces installations étaient lourdes, disgracieuses ,encombrantes et exigeaient des découpages importants sur les carrosseries
Pour les taxis ,ils étaient équipés de gaz ,logés dans des bouteilles allongées placées sur le toit . Cet aménagement est souvent visible dans les films dont l'action se passe pendant la guerre tel que "LUCIE AUBRAC " film tournés à LYON où plusieurs "TRACTIONS " avaient été ainsi équipées avec des bouteilles factices apportées par la société de production du susdit film.
Ces bouteilles de gaz ont subsisté jusque dans les années 60 à TOULOUSE par exemple
Quant au gaz de LACQ ,c'est celui qui utilisait ces bouteilles longues et qui a été utilisé dans le SUD OUEST et notamment à TOULOUSE.Même certains véhicules militaires en étaient équipés en 1959 ! dans ces régions
la perte de rendement est simplement due a la pauvreté du gaz a volume équivalent aspiré par le moteur, pour pallier a l échauffement associé des culasses en alu ont été montées.
Une des difficultés a l epoque était le démarrage sans essence aujourdhui c est plus facile!
l épuration des poussières est un vrai sujet aussi ,en outre a l époque ils ne disposaient pas d huiles de qualité.
Les bus parisiens étaient équipes d énormes réservoirs sur le toit pour fonctionner au gaz de ville non comprimé.
[quote="mfc"]
la perte de rendement est simplement due a la pauvreté du gaz a volume équivalent aspiré par le moteur, pour pallier a l échauffement associé des culasses en alu ont été montées.
[/quote]
En quoi la pauvreté du gaz favorise-t-elle l'échauffement ?
:scratch: je sais, je reviens de loin................. :boulet:
Dans le cas du gazogène, je suppose que c'est la combustion du bois ou du charbon qui dégage le gaz brulé dans les cylindres.
Comment produit-on ce gaz (n'est-il pas brûlé dans le foyer ?)
Les volumes produits sont-ils suffisants pour alimenter le moteur ?
merci de m'éclairer vos lumières .....................au gaz ? :jocolor:
Je ne suis pas du tout un spécialiste du gazogène. Après tout, je ne suis né qu'en 1947, alors que ceux-ci étaient en cours de démontage ....
Par contre, je vous invite à approfondir vos connaissances en vous imprégnant du texte suivant : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gazog%C3%A8ne
Quant au gaz de Lacq, outre son stockage dans des bouteilles sur le toit du véhicule, son emploi était similaire à celui du GPL que l'on connaît bien.
Une petit page informative d'époque sur les gazogènes :
Toutes les questions que vous-vous posez !!!!!
Bientôt un site uniquement sur les gazogènes, pour le moment il est en construction par Jean-Marc et moi-même.
Mais pour faire un site de qualité et bien fourni cela prend beaucoup de temps.